Depuis deux ou trois mois j'ai au moins 5/6 bouquins sur ma table de nuit que j'ai commencé et que j'essaye au gré de mes humeurs de lire, un coup l'un, un coup l'autre. C'est quelque chose que j'arrivais pas à faire avant, si je prenais un bouquin, pas possible d'entamer un autre. C'est un sentiment assez bizarre quand je replonge après plusieurs jours dans un bouquin que j'ai délaissé pour d'autres. Comme si plusieurs vies se superposaient, se chevauchaient, comme pour cacher la vraie dès fois peut être ou s'y évader plus souvent plus loin, des aucuns et encore d'autres ont des moyens plus radicaux pour s'envoyer planer ailleurs. Bon d'accord un ptit verre de montlouis methode trad de temps en temps le week end. D'ailleurs ces derniers temps j'ai eu plusieurs fois l'occasion de passer dans le Layon, c'est incroyable, rien que voir le panneau d'entrée d'agglo "Layon"( ou des environs) et les vignes qui se déroulent sur les coteaux le long de la route que mes papilles se réveillent et l'envie de m'arrêter, poser mon noble derrière à la terrasse d'un troquet de village et prendre le temps de déguster goulument le nectar... juste un instant de bonheur voler au temps qui passe. c'est sur le prochain coup je m'arrète. Pour revenir à la littérature je vous conseille dans le courrier international de jeudi dernier l'article "aimer le travail". Il paraît qu'en temps de crise on l'aime plus. C'est comme tout plus c'est rare plus c'est cher. Ah cher travail! Quelques uns ici rigolent doucement dans leur moustache, ces très chers "eux aussi" retraités.
Je vous envoie cette petite bafouille d'un cyber café du vieux Tours ou j'accompagne les jeun's dès fois. C'est très cosmopolite et coloré.
Heureusement que l'on va vers l'été!
c'est le titre d'un livre que j'ai lu il y a très longtemps, pendant mon service militaire, c'est l'histoire de quelques jeunes qui fuguent de chez eux et partent à l'aventure.
Allez un jour aussi nous fuguerons. Oui certain et certaines le font déjà, bises.